RORATE CÆLI DESUPER
[Paris, Bibliothèque nationale de France, Rés. Vma ms 571, n° d.95]
Attribution
Ce motet est anonyme. Les attributions précédentes sont sans fondement (voir Dossier attributions).
Source
Anonyme, [sans titre], dans Recueil Deslauriers (n° d.95), partition, ms, 352 x 220 mm, f. 85, F-Pn/ Rés Vma ms 571
(2e système et début du 3e système du f. 85)
Datation – Provenance
Aucun élément factuel ne permet de dater ce motet pour lequel aucune autre concordance n’a été établie.
Utilisation liturgique
Avent.
Effectifs – Disposition – Interprétation
sol2,ut1,ut3,ut4,fa4
Ce motet est composé pour un chœur à cinq parties comportant deux parties pour les enfants accompagnées par trois pupitres de voix d’hommes : haute-contre, taille et basse.
Notes sur le texte
Introït des messes de la sainte Vierge, pendant l’Avent.
Texte
V. Rorate cæli desuper, et nubes pluant justum.
R. Aperiatur terra, et germinet Salvatorem.
Texte & traduction
Cieux distilez la rosée d’en-haut, et les nuées pleuveront le Juste.
Que la terre s’ouvre, et qu’elle germe le Sauveur.
(traduction : Michel de Marolles, Le Breviaire romain […] en latin et en françois, partie d’hyver, Paris, Sébastien Huré et Frédéric Léonard, 1659, p. 407).